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Cet article est le résumé de l’épisode 19 du Podcast
« Raconte-moi ta dépression ».
Imaginez la chose suivante, vous êtes face ça a votre relation du moment et vous sentez réellement que rien ne va. Vous ne vous y retrouvez pas du coup, il est préférable d’arrêter la relation…Beaucoup de personnes se retrouvent dans la même situation avec leur thérapeute, leur psy. Est-ce donc possible de changer de psy en cours de thérapie ?
Souvent le problème n’est pas lié à cette question mais aux démarches à faire pour partir. En effet ,certains arrivent à s’en défaire sans problème, d’autres se retrouvent complètement déçus et ne veulent plus tenter une autre thérapie et d’autres restent parce qu’il faut rester. Dans cet épisode de podcast, je vous explique pourquoi, il est très important d’avoir une thérapie avec la bonne personne. Comment faire pour se redonner courage pour en trouver un autre ? Comment réussir à sortir de son traumatisme et changer de psy.
L’importance de la bonne personne
On peut comparer sa relation avec son thérapeute à une relation entre deux personnes. Au départ, nous sommes un peu timides et nous avons besoin d’une bonne dose de confiance avant de se livrer.
Il en est de même avec sa relation avec son psy. La première séance comme le premier rendez-vous est très importante car elle va donner le la sur comment se déroulera le reste des séances.
Bien sûr au départ, nous pouvons tous avoir du mal à exprimer ses idées noires, ses envies suicidaires par pudeur, par crainte d’être jugé etc.
Le plus important dans sa relation avec son thérapeute est de se sentir compris et aider à avancer dans la voie de la guérison. Bien sûr, nous n’avons pas tous les codes de la dépression, et l’impatience arrive très vite quand on est en difficultés émotionnelles. C’est pour cette raison que la communication est très primordiale dans la thérapie.
De retour sur notre premier rendez-vous, où c’est le moment de nous découvrir, nous posons très souvent des questions afin de connaître mieux notre interlocuteur et voir si ça match ou pas.
Il en est de même avec son thérapeute. Pour chaque séance, et la première pour bien commencer il ne faut pas avoir peur de poser toutes ses questions.
Ainsi vous aurez des réponses pour vous rassurer sur votre état émotionnel, savoir quel type de thérapie sera pratiqué, connaître ses expériences et ses compétences. Au fur et à mesure vous bâtirez une relation de confiance et n’aurez pas peur ni honte (enfin moins bien sur nous sommes toujours fragiles) de parler de vos craintes. Seulement voilà après des semaines, vous avez la sensation de ne pas être compris, de ne voit aucun résultat… Que faire . Vous avez donc le droit de changer de psy en cours de thérapie.
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Quand un changement s’impose
Très vite peut apparaître dans notre esprit ce besoin de changer de thérapeute. Les raisons sont nombreuses :
- Ne pas se sentir à l’aise
- L’impression de ne pas être compris
- La sensation de ne pas faire de progrès
- La lassitude face au traitement
- Le fait de se sentir uniquement écouter sans proposition d’activité
Face à cette situation, pour ne pas perdre du temps, discutez franchement de ses points avec votre thérapeute actuel. Souvent, nous ne sommes pas capables de voir nos progrès et nous pouvons être très surpris de la réponse de son psy.
Mais si jamais, rien ne va, et bien il est donc grand temps de changer de thérapeute.
Ne pensez jamais que c’est votre faute ou celle du psy. En effet, comme une relation a deux, peut-être qu’il y a des choses qui ne vous convenez pas comme la méthode, la thérapie. Si vous avez abordé ce point avec votre thérapeute et qu’il ne les comprend pas, next !
De plus, souvent nous manquons de courage par peur, par crainte pour beaucoup de raison liée à notre dépression ( manque de confiance en soi). Pour réussir à dépasser cela par conséquent, il faut se rappeler que nous sommes malades et non des cas désespérés. Que la mésentente ou le manque de feeling n’est pas de notre faute.
Pour ma part, j’ai changé de nombreuses fois. Et nombreux sont ceux qu’ils l’ont fait.
Comment changer correctement de thérapeute
Si vous vivez dans une grande ville, vous aurez surement des délais d’attentes assez important. Quel qu’il en soit, il vaut mieux attendre d’avoir un rendez-vous confirmer pour arrêter de voir son thérapeute. Quand, je dis cela, je parle bien du fait que les rendez-vous doivent être très très proche ! Pour avoir une continuité, ne dépasser pas deux semaines.
Si vous vous en sentez capable, vous pouvez expliquer à votre psy pourquoi vous souhaitez changer. Bien sûr, vous avez le droit en cours de thérapie de changer de thérapeute. Rien ne vous oblige à rester, vous n’êtes pas marié avec votre psy. Mais quand on se doit de changer de psy en cours de thérapie, il faut le faire de la bonne façon, appeler votre thérapeute ou son secrétariat et dites-lui que vous avez trouver un autre psy. Cela évitera à votre thérapeute de se faire du soucis pour vous.
Surmonter les déceptions thérapeutiques
L’une des grandes difficultés que beaucoup de dépressif rencontre, est de surmonter la déception après moulte thérapeute, moulte essaies, moult trainements. La lassitude en amène beaucoup à tous arrêter.
Par exemple, le cas des antidépresseurs : trouver le bon traitement demande du temps et beaucoup de patience. Souvent, beaucoup de dépressifs souhaitent arrêter leur thérapie car aucun médicament n’a fonctionné et que les effets secondaires sont trop difficiles. Alors que pour tester l’efficacité d’un antidépresseur, il faut attendre au moins 1 mois… Il faut donc beaucoup de patience et après de long mois sans rien qui marche… on préfère arrêter tout.
Pourquoi cela est une erreur…
La dépression est une maladie et de nous-même, nous avons besoin d’une sacrée volonté pour s’en sortir. Volonté qui disparaît avec les symptômes de la dépression.
Ensuite en France, les psychanalyse (réalisé par les psychiatres) sont les plus pratiqué car remboursée par la sécu et les moins aimés. Les psychiatres sont des médecins et n’auront pas forcement le côté thérapie comportementale ou cognitive….
Pour briser tout cela, je vous invite à avoir un psychologue avec la maitrise sur Thérapie comportementale et cognitive. Cette thérapie très utiliser à l’étranger aide vraiment à comprendre ses schémas de penser et nous donne des exercices pratique pour avancer.
Bien sûr, nous n’avons pas tous les moyens de se payer un psychologue, c’est pour ces raisons que les CMP (centre médico-psychologique) existent et peuvent être une aide réelle.
Manuella
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Cet article a 4 commentaires
Bonjour
Je suis en dépression au travail parce ce que ça me plait pas le psychiatre à Tremblay en France il me correspond pas j’ai dialogué avec mon psychiatre il ma pas voulu m’écouter ya des choses qui me va pas pour parlé la jalousie il m’a pas voulu m’écouter il ne fait rien il regarde tout le temps sur son l’ordinateur le livre et le classeur beu voilà j’ai l’enparler a une éducatrice du foyer elle m’a dit Paris c’est loin pour moi ça me ra bien de trouvé le psy le proche mais à Paris avant j’étais voir le psy à Paris je suis autonome je sais prendre le transport en commun toute seule jusqu’à a Paris tout a coup j’ai tapé sur la table de lavabo dans la cuisine
N’ayez pas peur de voir quelqu’un d’autre. Il y a des applications en ligne en attendant de trouver un psy sur la région parisienne ❤️
Bonjour
Je comprend que c’était difficile avec des résidents dans mon foyer ya personnes qui travaillent sur Paris avant une infirmière elle m’a dit ça me ra bien de trouvé un travail plus proche comme les autres résidents mais j’écoute pas l’infirmière elle m’a parlé aussi des histoires de régime pour des problèmes du poid elle m’a interdit le maquillage tout a coup j’ai insulté une infirmière elle me considère comme une mère l’infirmière elle m’a dit quelque je ne n’aime pas j’ai tapé sur mes jambes avec elle c’est comme une prison elle me laisse pas en liberté elle m’a enfermée dans sont bureau en infirmerie elle en train trier des médicaments l’infirmière c’est une folle elle voudras jamais je déménagera à Paris si j’habiterai à Paris je serait libre
Catherine
Bonjour
Non ça va pas vraiment tu tout depuis mon éducateur est parti s’occupe beaucoup de mes démarches mais pas ma nouvelle référente elle me force de trop par propos des activités au foyer comme du yoga et l’art therapie elle me parle derrière mon dos de mon projet personnalisé par propos que le foyer sur Paris ce n’est pas possible c’est pour le secteur Parisien le psychiatre aussi avec elle ne veut pas pour parlé le déménagement sur Paris elle veut que je reste au foyer de Sevran tout le temps je n’ai marre d’habiter à Sevran plutôt mieux à Paris je me sens en souffrance avec ma nouvelle je pas autonome avec elle Sevran c’est la merde